Mémoires du Port de Commerce de Brest

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25 janvier 2008

Quai aux couleurs et irisations

Les murs, les immeubles étaient gris. Le charbon collait aux pierres, façades et toitures. Ils devinrent lumineux, expressifs. Le poussier est parti, les silos avalent les produits agroalimentaires (plus de transit par camions non bâchés). Cependant il a fallu l'arrivée d'Emmanuelle pour retrouver la chaleur des couleurs. Avec magie elle habille tout objet, tout petit meuble, tout bout de tissu ou autre matériau. L'artiste se présente sachant drainer le travail d'autres collègues chez elle.

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25 avril 2007

L'Industrie fait un Boeuf...

Sous les saisons ensoleillées, brumeuses, animées, nous trouvons toujours, sur PORTDE, des sourires, des accueils chaleureux.
Denise et Christophe sont une forme de prototype. Ils ont compris leur village en le rendant agréable... Un peu coquin, aussi !!!

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09 avril 2007

Marie-thé la pétillante aux embruns

Un sourire discret, chaleureux est derrière le zinc du bar LES EMBRUNS.
Parfois Mariethé sait prendre un ton bien étudié, afin de se faire respecter par ses gars.
Oh ! Ils la vénèrent... C'est là qu'ils se sentent bien.


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30 mars 2007

Un oeil sur FIFI et la régate des "4 VENTS"

Des personnages font un lieu. FIFI (Mr. Anger) a propulsé le sien. Les QUATRES VENTS c'est son fief, sa fierté. Ce promoteur des bars nouvelle génération a transformé l'art de percevoir la clientèle. Un rien chambreur, il sait capter l'intérêt. Des stars aux simples passants la pause terrasse a souvent une forme d'arrêt consensuel.


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14 mars 2007

PIERROT le sage, aime les arthropodes

En quelques phrases bien pesées, Pierrot COSMAO m'étonne par sa lucidité. Lors d'une rencontre sur L'ABEILLE BOURBON (voir et entendre par ailleurs CARLOS), ce commerçant indique sa perception du PORT DE. Etre humble et conviviable, sachant qu'ici ce sera encore, toujours le port de commerce. Respecter les us ouvrières, les habitants, les modes de vie. Il adore se payer une araignée, un tourteau en terrasse. Chut ! Vous saurez trouver où il s'attable. Ah, si j'avais un marteau ! Près de deux minutes à son écoute, vont vous convaincre. Salut.

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